Séquence

Niveau 0

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Salle de lecture improvisée

Dans une cabane se trouve une bibliothèque improvisé contenant des livres données par la garnison et par les aumôniers. Des tables et des chaises parfois abrité à l’intérieur ou en extérieur pour profiter du soleil, servent au soldat en convalescence afin de passer le temps.

L'infirmière Ellen se soucie des patients et vérifie que leur traitement soit bien prit. Elle rigole aux tentatives de séductions des soldats qu'elle repousse sans effort. Après un petit souris, l'homme reprend son livre sans frustration et tente de draguer une autre aide soignante...

Constatation

Malgré le climat innocent de séduction jouer par les deux équipes, un soldat se démarque du lot par son isolement et son mutisme. Il observe tel un animal guettant sa proie mais son visage rayonne d'un sourire béat et d'une posture calme.

Contradiction

Autour de l'homme, les personnes s'éloigne naturellement, les discussions semblent moins joyeuses et le calme s'installe. Comme un syphon à émotion qui canalise les sentiments des personnes qui l'entour.

Accentuation
Ø Personnages

Scénario

Collaboration
Ø | Séquence disponible
Temps - 1
Amorce
Les infirmières et les soldats discutent dans cet havre de paix, prétextant la lecture pour se rapprocher et discuter à l'abri d'un cadre médical ou militaire. Parfois le rôle d'infirmière coupe la conversation pour s'informer sur le traitement des patients.
Temps - 1
Temps · 0
Rupture
L'ambiance est vivante et bon enfant, ce qui dénote complètement de l'atrocité de la guerre ou celle des blessés et malades en convalescence dans leur lit d'hôpital. L'inquiétude revient quand un bombardement se fait entendre au loin et le silence règne un instant.
Temps · 0
Temps + 1
Limite
Les visages se décompose, la peur se lie dans les yeux des soldats et la frayeur du combat resurgit. Certain soldat sombre dans un mutisme profond, d'autre cri de terreur. La panique submerge progressivement la salle de lecture qui devient rapidement ingérable.
Temps + 1
Temps + 2
Intervention
Les infirmières réussissent à calmer certain soldat mais pour les autres, ils faut les abrité et leur donner un sentiment de sécurité. La cuisine demeure le seul refuge approprier pour rassurer ces hommes tourmenter par des traumatismes de guerres.
Temps + 2
Conclusion
Exploration
Parmi l’ensemble des tables et chaises misent au service de la communauté pour s’installer et passer le temps, un espace se libre dénote autour d’une table sur laquelle se trouve un livre à moitié ouvert. À l’abri de la lumière mais excentré de la bibliothèque.
Épreuve | Profil + Culture + Économique
Le livre traite de religion, une étude sur la chrétienté et les missions liturgiques en Afrique. À l’intérieur se trouve des notes rédiger par le prêtre Horace Neil, concernant l’importance de la salvation et la crainte que ce conflit ai souillé ses ouailles de la lumière divine.
Conclusion
Interprétation
Le jeune soldat Percy ne parvient pas à s’exprimer mais ses yeux pétilles d’admiration envers l’infirmière Ellen qu’il contemple comme un divinité plus qu’une personne. Entre la timidité et l’intimidation, il orbite autour d’elle dans l’attente d’un regard ou d’un mot lui permettant d’engager la conversation.
Épreuve | Profil
Avec un petit coup de pousse, Percy discute plus longuement avec Ellen et fini par lui avouer ses sentiments mais l’infirmière l’interrompt calmement et l’informe que son cœur est déjà prit. Lilian charrie son frère lui dit, ainsi qu’à l’équipe d’aller aider à la cuisine au lieu de glander et draguer.
Conclusion
Action
L’état de santé du soldat Percy, ressemble à de la béatitude quand il regarde en direction de l’infirmière Ellen mais son comportement ne semble pas être dû uniquement au sentiment, sa léthargie semble aussi médical ou en tout cas pas naturel.
Épreuve | Profil + Arcane
Une fois proche de lui, un sentiment de rage profonde envahit l’esprit des individus « atteint » par la maladie. Un bourdonnement semblable à celui d’un cri, des visions violentes défiles » le sourire d’une femme »  » un homme au sol, son sang coule dans la terre, une bêche planté dans le dos ».
Conclusion