Vous trouverez ici la méthodologie nécessaire pour concrétiser votre imaginaire, de la simple idée à l’écriture d’un scénario complet.
Afin de comprendre ce module, les participant·es auront besoin de connaître certaines notions nécessaires au jeu :
les différents rôles, le matériel utilisé ainsi que les termes employés.
Le jeu narratif est un jeu de société axé sur l’imagination et l’invention.
Lors d’une session, les participant·es se rassemblent afin de concevoir ensemble un récit interactif.
En préambule, la·le scénariste s’inspire d’un univers afin de composer un scénario.
Pour la session, la·le narrateur·rice les consulte et les emploie afin de leur donner vie par le discours.
En réponse, des joueur·euses interagissent durant les péripéties pour en influencer le dénouement.
Le scénario présente l’intrigue et le contexte d’une aventure.
Il concentre et organise l’ensemble des informations nécessaires ou pertinentes afin de faciliter la description du récit. Ce document vise à exposer le contenu de manière distincte pour y accéder aisément durant la session.
Les instructions guident l’histoire sans chercher à délimiter l’inventivité de l’équipe.
La personne chargée de la narration sélectionne une épopée pour le groupe avant la partie. Elle en prend connaissance et la prépare afin de simplifier ses improvisations. L’intention réside dans l’adaptation et la transformation de la scène imaginaire pour réagir spontanément aux initiatives des autres membres.
L’univers désigne le cadre général d’une histoire.
Il présente les caractéristiques historiques, géographiques et anthropologiques nécessaires ou pertinentes pour les participant·es, l’objectif étant de les décomposer distinctement en archétypes afin de les employer aisément dans la création de personnage ou de scénario.
L’univers délimite le possible et l’imaginaire des participant·es sur une base commune.
En préambule d’un scénario, la·le scénariste sélectionne un univers idéal pour l’aventure.
Iel en prend connaissance et l’incorpore au scénario afin d’en ancrer la création, l’intention étant de le composer autour des problématiques de l’univers.
La·le scénariste désigne la·le rédacteur·rice du scénario.
Afin de simplifier la narration et l’improvisation lors d’une session, la·le scénariste compose un scénario dans l’intention de le transmettre à un·e narrateur·rice, l’objectif étant de renseigner les informations nécessaires à la compréhension et l’appréhension du scénario.
Par l’écriture, la·le scénariste communique une ambiance et une trame narrative aux participant·es.
À travers la fiche scénario, la·le scénariste expose méthodiquement le contenu essentiel au déroulement de la session. Iel le présente puis en décline les environnements, les événements et les personnages afin d’en décrire les aspects pertinents ou majeurs.
L’une des personnes se désigne comme responsable du récit et des règles du système.
Elle expose les environnements, conte les événements et interprète les individus figurants à l’aide des informations mises à disposition dans le scénario. L’objectif consiste à propulser le groupe dans une scène imaginaire par des dialogues et des descriptions.
L’arbitre de la narration cherche à installer, par le discours, le décor dans lequel les protagonistes évoluent.
La mission vise à improviser la trajectoire de l’intrigue en la fusionnant aux aléas d’une session. La personne adapte l’histoire pour y intégrer les initiatives des membres de l’équipe afin d’influencer le récit et d’en obtenir une résolution singulière.
Les autres personnes acceptent la position de protagonistes dans l’histoire.
Chacune compose ou sélectionne une identité à jouer avant la première session et en expose méthodiquement les informations essentielles à sa compréhension et à son appréhension, à l’aide de la fiche système.
L’interprète d’un rôle a pour objectif de s’immiscer dans l’intrigue de manière théâtrale.
Sa mission consiste à investir la scène imaginaire à travers ses initiatives. La personne énonce le comportement, les décisions et les actions de l’individu incarné ; puis, la narration les intègre au récit avant de poursuivre le scénario en conséquence.
Pour une compréhension optimale, un·e utilisateur·rice a besoin d’avoir la fiche scénario sous les yeux pendant la lecture du module.
Le scénario sert de support et demeure libre d’interprétation, la·le narrateur·rice en improvisera le contenu nécessaire afin de l’adapter aux aléas initiés par ses joueur·euses.
La·le scénariste a la possibilité de concevoir des personnages [joueur] modèles avec leur fiche personnage pour le scénario.
Un groupe d’ami·es : Camille, Adrien, Charles et Nicolas, décide de jouer au jeu narratif à l’aide d’Index.
Adrien souhaite être le scénariste et le narrateur d’un scénario. Il s’inspire des modules narratifs pour concevoir une aventure sur mesure pour ses ami·es.
Avant de compléter la fiche scénario, Adrien note les idées qu’il souhaite concrétiser et intégrer à l’histoire.
Une fois l’histoire imaginée, la conception du scénario commence par la mise en page et la planification du schéma narratif.
À l’aide de la fiche scénario, répertoriez les différents aspects de votre aventure et déclinez-les en plusieurs scènes modulables afin de réagir aisément à tous les aléas !
La capsule désigne une délimitation spatiale et temporelle pour le scénario.
Elle introduit les informations essentielles à la construction d’un schéma narratif cohérent et compréhensible.
À travers la fiche scénario, la·le scénariste compose et organise une histoire afin de la transmettre à un·e narrateur·rice.
Pour ce faire, un·e scénariste renseigne le cadre de la capsule afin de l’ancrer à un univers.
Puis, iel en détermine la structure pour en définir les axes et les acteurs principaux de l’histoire.
Par la suite, iel en décline les étapes parmi les différents actes, l’objectif étant de fragmenter le schéma narratif en plusieurs séquences modulables.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’apparence désigne le visuel du personnage.
Elle définit les traits physiques, esthétiques et physionomiques d’un individu afin d’en présenter l’allure et l’attitude pendant la narration ; cette description vise à le dépeindre aux autres membres du groupe.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’apparence désigne le visuel du personnage.
Elle définit les traits physiques, esthétiques et physionomiques d’un individu afin d’en présenter l’allure et l’attitude pendant la narration ; cette description vise à le dépeindre aux autres membres du groupe.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’apparence désigne le visuel du personnage.
Elle définit les traits physiques, esthétiques et physionomiques d’un individu afin d’en présenter l’allure et l’attitude pendant la narration ; cette description vise à le dépeindre aux autres membres du groupe.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’apparence désigne le visuel du personnage.
Elle définit les traits physiques, esthétiques et physionomiques d’un individu afin d’en présenter l’allure et l’attitude pendant la narration ; cette description vise à le dépeindre aux autres membres du groupe.
Le système de jeu sert de support et demeure libre d’interprétation. Il assiste l’expérience sans chercher à la restreindre.
Indépendamment du niveau de complexité sélectionné, la·le narrateur·rice a besoin de posséder les bases du système. Iel possède le dernier mot lors d’un désaccord.
La·le narrateur·rice a la possibilité de créer un scénario ou d’en adapter un déjà existant. Iel assiste la création de personnages afin de maintenir une cohérence avec le scénario.
Les joueur·euses réagissent aux situations données par la·le narrateur·rice et prennent des initiatives avec leur personnage.
Une aventure sur plusieurs sessions demande une régularité de jeu et les notes prises durant l’aventure servent de mémo aux participant·es entre les sessions.
Adrien organise et renseigne ses idées dans les divers sections en y inscrivant les informations pertinentes et indispensables pour la compréhension du scénario.
Puis, il en détermine les 3 axes majeurs et en imagine les personnages essentiels à l’histoire.
Une fois l’idée fixée, il la décline en plusieurs scènes afin d’offrir une variation de parcours lors de son emploi par la narrateur·rice
Les actes désignent les sections dédiées à la trame narrative d’une capsule.
Ils s’emploient en complément de la structure afin de transmettre le déroulé de l’aventure à un·e narrateur·rice.
À travers la fiche scénario, un·e scénariste détermine les événements de la capsule et les décline en séquences.
Pour ce faire, un·e scénariste complète le premier, le deuxième et le troisième actes de la capsule.
En quelques phrases, iel en présente le contenu puis définit leurs localisations et leurs personnages actants.
En préambule d’une session, un·e narrateur·rice s’informe sur les différents événements du scénario dans l’optique d’en combler les ellipses lors de la narration.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
Le système de jeu sert de support et demeure libre d’interprétation. Il assiste l’expérience sans chercher à la restreindre.
Indépendamment du niveau de complexité sélectionné, la·le narrateur·rice a besoin de posséder les bases du système. Iel possède le dernier mot lors d’un désaccord.
La·le narrateur·rice a la possibilité de créer un scénario ou d’en adapter un déjà existant. Iel assiste la création de personnages afin de maintenir une cohérence avec le scénario.
Les joueur·euses réagissent aux situations données par la·le narrateur·rice et prennent des initiatives avec leur personnage.
Une aventure sur plusieurs sessions demande une régularité de jeu et les notes prises durant l’aventure servent de mémo aux participant·es entre les sessions.
Adrien organise et renseigne ses idées dans les divers sections en y inscrivant les informations pertinentes et indispensables pour la compréhension du scénario.
Puis, il en détermine les 3 axes majeurs et en imagine les personnages essentiels à l’histoire.
Une fois l’idée fixée, il la décline en plusieurs scènes afin d’offrir une variation de parcours lors de son emploi par la narrateur·rice
La structure désigne la section dédiée aux dynamiques d’une capsule.
Elle s’emploie en complément du cadre afin de transmettre l’intention du scénario à un·e narrateur·rice.
À travers la fiche scénario, un·e scénariste détermine les personnages [non-joueurs] et leurs intéractions avec les protagonistes de l’histoire : les personnages [joueurs].
Pour ce faire, un·e scénariste définit la destination, l’itinéraire et le parcours d’une capsule.
En quelques phrases, iel en détermine le contenu et en élabore les personnages actants.
En préambule d’une session, un·e narrateur·rice s’imprègne des différents personnages du scénario dans l’optique de les interpréter lors de la narration.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
Les informations désignent les traits de base d’un rôle.
Elles correspondent aux données uniques qui permettent de distinguer un individu parmi les autres.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
L’identité désigne l’appellation du personnage.
Elle définit les termes propres, exclusifs et distinctifs d’un individu afin d’en déterminer le nom, le pseudonyme ou le titre pendant la session ; cette information vise à séparer l’interprète du rôle.
Le système de jeu sert de support et demeure libre d’interprétation. Il assiste l’expérience sans chercher à la restreindre.
Indépendamment du niveau de complexité sélectionné, la·le narrateur·rice a besoin de posséder les bases du système. Iel possède le dernier mot lors d’un désaccord.
La·le narrateur·rice a la possibilité de créer un scénario ou d’en adapter un déjà existant. Iel assiste la création de personnages afin de maintenir une cohérence avec le scénario.
Les joueur·euses réagissent aux situations données par la·le narrateur·rice et prennent des initiatives avec leur personnage.
Une aventure sur plusieurs sessions demande une régularité de jeu et les notes prises durant l’aventure servent de mémo aux participant·es entre les sessions.
Adrien organise et renseigne ses idées dans les divers sections en y inscrivant les informations pertinentes et indispensables pour la compréhension du scénario.
Puis, il en détermine les 3 axes majeurs et en imagine les personnages essentiels à l’histoire.
Une fois l’idée fixée, il la décline en plusieurs scènes afin d’offrir une variation de parcours lors de son emploi par la narrateur·rice
Vous trouverez ici la méthodologie nécessaire pour concrétiser votre imaginaire, de la simple idée à l’écriture d’un scénario complet.
Afin de comprendre ce module, les participant·es auront besoin de connaître certaines notions nécessaires au jeu :
les différents rôles, le matériel utilisé ainsi que les termes employés.
La séquence désigne un fragment spatial et temporel d’une capsule.
Elle introduit les informations nécessaires à la ludification d’un scénario dans l’optique d’en amplifier le contenu narratif.
À travers la fiche scénario, la·le scénariste décompose les événements de la capsule en cinq séquences, employables par un·e narrateur·rice : instruction, collaboration, médiation, opposition et objection.
Pour ce faire, un·e scénariste renseigne le cadre des séquences afin de les ancrer à l’univers de la capsule.
Puis, iel en définit les scripts, les scènes et les castings afin d’en exposer un contenu complet et d’en déterminer des composantes ludiques pertinentes.
En parallèle, iel en imagine les intrigues dans l’optique de créer une cohésion entre les séquences afin d’affirmer une trame homogène pour la capsule.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
L’escamotage représente les habiletés dextres et précises, telles que le crochetage, le larcin, le désamorçage et autres techniques minutieuses.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
L’escamotage représente les habiletés dextres et précises, telles que le crochetage, le larcin, le désamorçage et autres techniques minutieuses.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
L’escamotage représente les habiletés dextres et précises, telles que le crochetage, le larcin, le désamorçage et autres techniques minutieuses.
La culture représente le savoir académique, tel que l’histoire, l’art, la religion et autres connaissances anthropologiques ou philosophiques.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
Le scénario emploie en priorité les personnages présents dans le casting de la séquence d’instruction comme protagonistes, hors personnage actant.
L’intrigue s’emploie en complément de l’action, de l’exploration et de l’interprétation afin de récompenser le succès ou l’initiative des joueur·euses et de réorienter la narration vers les séquences pertinentes du scénario.
Dans le script, lors de l’étape de rupture, le nombre idéal de tentatives se situe autour de 2, mais la·le narrateur·rice a la possibilité de le réduire ou de l’augmenter afin de moduler la difficulté du scénario.
De plus, iel adapte la résolution passive des séquences de collaboration et de contestation, en opposition aux décisions des protagonistes, l’objectif étant de maintenir une pression antagoniste au parcours des joueur·euses.
Adrien organise et renseigne ses idées dans les divers sections en y inscrivant les informations pertinentes et indispensables pour la compréhension du scénario.
La séquence désigne un fragment spatial et temporel d’une capsule.
Elle introduit les informations nécessaires à la ludification d’un scénario dans l’optique d’en amplifier le contenu narratif.
À travers la fiche scénario, la·le scénariste décompose les événements de la capsule en cinq séquences, employables par un·e narrateur·rice : instruction, collaboration, médiation, opposition et objection.
Pour ce faire, un·e scénariste renseigne le cadre des séquences afin de les ancrer à l’univers de la capsule.
Puis, iel en définit les scripts, les scènes et les castings afin d’en exposer un contenu complet et d’en déterminer des composantes ludiques pertinentes.
En parallèle, iel en imagine les intrigues dans l’optique de créer une cohésion entre les séquences afin d’affirmer une trame homogène pour la capsule.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La présence correspond à l’attention sociale d’un individu.
Il englobe les capacités qui dépendent davantage de la finesse, la sensibilité, la reconnaissance, la méticulosité ou la prévenance.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
La discrétion représente les aptitudes furtives, telles que la filature, le camouflage, l’anonymat et autres compétences de dissimulation.
Le système de jeu sert de support et demeure libre d’interprétation. Il assiste l’expérience sans chercher à la restreindre.
Indépendamment du niveau de complexité sélectionné, la·le narrateur·rice a besoin de posséder les bases du système. Iel possède le dernier mot lors d’un désaccord.
La·le narrateur·rice a la possibilité de créer un scénario ou d’en adapter un déjà existant. Iel assiste la création de personnages afin de maintenir une cohérence avec le scénario.
Les joueur·euses réagissent aux situations données par la·le narrateur·rice et prennent des initiatives avec leur personnage.
Une aventure sur plusieurs sessions demande une régularité de jeu et les notes prises durant l’aventure servent de mémo aux participant·es entre les sessions.
Adrien organise et renseigne ses idées dans les divers sections en y inscrivant les informations pertinentes et indispensables pour la compréhension du scénario.
Une fois l’histoire imaginée, la conception du scénario commence par la mise en page et la planification du schéma narratif.
À l’aide de la fiche scénario, répertoriez les différents aspects de votre aventure et déclinez-les en plusieurs scènes modulables afin de réagir aisément à tous les aléas !
Une fois la capsule et les séquences complétées, la conclusion commence par la vérification des informations et l’archivage du scénario.
À travers des notes, informez les futur·es utilisateur·rices de vos intentions et ambitions afin de garantir la compréhension de votre création !
La vérification désigne la clôture d’un scénario.
Elle termine la phase de création et confirme la compréhension du contenu afin de l’archiver ou de le communiquer à un tiers.
Pour ce faire, la·le scénariste rectifie la globalité des fiches scénario, dans l’optique de maintenir une harmonie entre les diverses séquences et capsules.
En parallèle, iel intègre des renseignements et des consignes additionnels dans les notes afin d’indiquer les subtilités du scénario.
Par la suite, iel complète le mode d’emploi de la capsule pour l’archiver ou le transmettre à un·e narrateur·rice.
En préambule d’une session, un·e narrateur·rice s’informe sur l’intégralité du scénario, installe l’univers grâce au mode d’emploi et place les personnages [joueurs] nécessaires. Puis, iel en commence la narration par la première séquence de la capsule.
Pour une compréhension optimale, un·e utilisateur·rice a besoin d’avoir la fiche scénario sous les yeux pendant la lecture du module.
Le scénario sert de support et demeure libre d’interprétation, la·le narrateur·rice en improvisera le contenu nécessaire afin de l’adapter aux aléas initiés par ses joueur·euses.
La·le scénariste a la possibilité de concevoir des personnages [joueur] modèles avec leur fiche personnage pour le scénario.
Après avoir essayé le scénario, les participant·es se retrouvent afin de corriger et rectifier les écrits d’Adrien et archiver le scénario pour potentiellement le partager à d’autres groupes de jeu.