Séquence

Niveau 0

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Chapelle de campagne

Une petite chapelle de campagne servant de refuge religieux au campement des convalescents. La toiture solide et les murs en pierre offre en plus d’une protection spirituelle, un réel sentiment d’abri face au bombardement

La présence de l'infirmière à côté du soldat confirme qu'il est sous traitement, le calme se lit sur son visage et sa posture semble relaxé. Le révérant et l'infirmière l'encadre de manière très paternaliste et condescendante pendant qu'iels lui font la morale sur son état de santé.

Constatation

Malgré le calme et l'attitude positive du soldat, son optimisme ressemble plus à de la répression d'émotion qu'a une réel plénitude. Parfois des spasmes l'anime et pendant un lapse de temps le sourire béat vire à de l'animosité pure.

Contradiction

Au fur et à mesure des échanges et des frustrations ou désaccord dans la discussion, la fréquence des spasmes augmentent et se rapproche dangereusement au point de plus savoir si son état actuel et plutôt calme ou agité... Pourtant son entourage ne semble pas réagir.

Accentuation
Ø Personnages

Scénario

Opposition
Ø | Séquence disponible
Temps - 1
Amorce
La messe se prépare et dans le coin de la pièce, le révérant Horace discute avec un soldat sous les yeux d'une infirmière qui l'accompagne. Proche du confessionnal, l'homme refuse de dialoguer ou de se confesser, il souhaite prier seul, à sa façon mais les chaperons insiste.
Temps - 1
Temps · 0
Rupture
L'homme entre dans le confessionnal. L'infirmière Kathleen assiste l'échange et supervise le soldat, sans un bruit, il saisi la jeune femme par le bras avant de l'emporter dans le confessionnal. À ce moment la la cloche sonne annonçant la messe et le monde afflux dans la chapelle.
Temps · 0
Temps + 1
Limite
Une fois le mouvement de foule fini et le brouhaha des chaises et de la cloche terminée, un appel à l'aide se fait entendre, le révérant tente de faire lâché le soldat qui étrangle encore le cadavre de sa fille. Les deux hommes sont en sanglot à côté d'elle. La foule intervient
Temps + 1
Temps + 2
Intervention
Dans le chaos total, le soldat est ligoté et emmener, le cadavre de la femme est discrètement sorti et la chapelle est évacué... Entre deux sanglot, l'homme de foi demande d'en informer son frère, il n'a pas le courage de lui dire que sa fille est morte.
Temps + 2
Conclusion
Exploration
La bâtisse semble administrer par le révérant Horace Neil qui s’occupe de tempérer les attentes des soldats face à leur rétablissement et remet de l’espoir dans leur cœur avant de les renvoyer à Ladysmith pour reprendre l’effort de guerre.
Épreuve | Profil
Dans la quête, un montant important indique des financements extérieur au corps militaire qui ne peux parvenir que de dons de l’équipe médical, en discutant du sujet, le révérant partage le nom de son plus grand mécène le Docteur Calvil
Conclusion
Interprétation
Le cas de David Wilson est critique, coincé dans une léthargie physique mais une torpeur mental intense. Le dialogue se referme progressivement et les sujets à abordé de plus en plus restreint. Les occasions sont mince mais l’homme semble avoir beaucoup de chose à dire.
Épreuve | Profil + Persuasion + Synthétique
Le soldat fond en larme, ses mots tremblent, il semble terrifier par ce qu’il l’anime. La léthargie et la torpeur ont disparu, l’homme parle d’une présence, contagieuse, omniprésente qui le guide dans ses choix mais qu’il essaie de refreiner, « elle me débarrasser de quelqu’un, un civil, une femme »
Conclusion
Action
La rage s’empare du soldat qui saisit l’infirmière au cou, sous les yeux ébahit du révérant. Malgré les tentatives de l’homme de foi, la poigne du soldat ne semble pas se desserrer de sa victime qui commence à perdre son souffle. La foule n’a pas le temps de réagir.
Épreuve | Profil + Combat
La force du soldat est surhumaine, un mélange de rage et de transe, il ne réagit plus à la douleur et ne perd pas son objectif des yeux. Il pleure et sanglote pendant qu’il l’étrangle et sa poigne se relâche légèrement pour réussir à rompre la saisie. L’infirmière est à transféré aux urgences.
Conclusion