Vous y trouverez le nécessaire pour organiser un contexte afin d’y installer le script de votre scénario.
Il présente les bases d’une mise en scène narrative et un guide approfondi décliné en plusieurs échelles de grandeur.
Pour plus d’information, sélectionnez le niveau d’échelle souhaité ci-dessous.
Le cadre désigne l’organisation des informations nécessaires à la narration et à l’improvisation.
Afin de planifier à l’avance un scénario, il est pertinent de le préparer sur deux points : la structure et l’ambiance.
Ces dernières permettent une narration microscopique à travers l’ambiance, focalisée sur l’immersion, tout en maintenant une cohérence macroscopique à l’aide de la structure, focalisée sur le scénario.
La structure désigne l’architecture du scénario.
Ces informations servent à guider la·le narrateur·rice afin de conserver une logique scénaristique et d’anticiper les initiatives des joueur·euses.
À l’aide des informations, iel oriente leurs intérêts sur les éléments pertinents et essentiels pour la compréhension du scénario.
Lors de la description de la scène, la·le narrateur·rice se réfère à ces éléments afin de ne pas omettre les détails essentiels à la progression du scénario.
L’ambiance désigne l’atmosphère du scénario.
Ces informations servent à guider la·le narrateur·rice lors de l’improvisation et de l’interprétation de personnages.
À l’aide des informations, iel décrit le décor, les individus présents et les événements anecdotiques propulsant les joueur·euses dans un imaginaire sensible et tangible.
Lorsque les personnages joueurs explorent le lieu, la·le narrateur·rice s’appuie sur ces éléments afin d'installer le décor par une description sensorielle.
Afin d’organiser le cadre, celui-ci se décline en trois aspects.
Chaque aspect traite d’un élément distinct de la narration et possède sa propre structure et ambiance.
La structure désigne l’architecture du scénario.
Ces informations servent à guider la·le narrateur·rice afin de conserver une logique scénaristique et d’anticiper les initiatives des joueur·euses.
À l’aide des informations, iel oriente leurs intérêts sur les éléments pertinents et essentiels pour la compréhension du scénario.
Lors de la description de la scène, la·le narrateur·rice se réfère à ces éléments afin de ne pas omettre les détails essentiels à la progression du scénario.
L’ambiance désigne l’atmosphère du scénario.
Ces informations servent à guider la·le narrateur·rice lors de l’improvisation et de l’interprétation de personnages.
À l’aide des informations, iel décrit le décor, les individus présents et les événements anecdotiques propulsant les joueur·euses dans un imaginaire sensible et tangible.
Lorsque les personnages joueurs explorent le lieu, la·le narrateur·rice s’appuie sur ces éléments afin d'installer le décor par une description sensorielle.
L’ambiance désigne l’atmosphère du scénario.
Ces informations servent à guider la·le narrateur·rice lors de l’improvisation et de l’interprétation de personnages.
À l’aide des informations, iel décrit le décor, les individus présents et les événements anecdotiques propulsant les joueur·euses dans un imaginaire sensible et tangible.
Lorsque les personnages joueurs explorent le lieu, la·le narrateur·rice s’appuie sur ces éléments afin d'installer le décor par une description sensorielle.
L’échelle désigne le point de vue à travers lequel le scénario est observé.
Les échelles commencent à 1 et se terminent à 6, chaque échelle s’imbriquant dans l’échelle supérieure.
Les échelles fragmentent le scénario en arborescence afin de l’organiser de manière logique et hiérarchique.
La·le narrateur·rice détermine l’échelle maximale nécessaire au scénario et en décline le cadre jusqu’à l’échelle minimale.
La structure désigne l’architecture du scénario.
Ces informations servent à guider la·le narrateur·rice afin de conserver une logique scénaristique et d’anticiper les initiatives des joueur·euses.
À l’aide des informations, iel oriente leurs intérêts sur les éléments pertinents et essentiels pour la compréhension du scénario.
Lors de la description de la scène, la·le narrateur·rice se réfère à ces éléments afin de ne pas omettre les détails essentiels à la progression du scénario.
L’ambiance désigne l’atmosphère du scénario.
Ces informations servent à guider la·le narrateur·rice lors de l’improvisation et de l’interprétation de personnages.
À l’aide des informations, iel décrit le décor, les individus présents et les événements anecdotiques propulsant les joueur·euses dans un imaginaire sensible et tangible.
Lorsque les personnages joueurs explorent le lieu, la·le narrateur·rice s’appuie sur ces éléments afin d'installer le décor par une description sensorielle.
Le système de jeu sert de support et demeure libre d’interprétation. Il assiste l’expérience sans chercher à la restreindre.
Indépendamment du niveau de complexité sélectionné, la·le narrateur·rice a besoin de posséder les bases du système. Iel possède le dernier mot lors d’un désaccord.
La·le narrateur·rice a la possibilité de créer un scénario ou d’en adapter un déjà existant. Iel assiste la création de personnages afin de maintenir une cohérence avec le scénario.
Les joueur·euses réagissent aux situations données par la·le narrateur·rice et prennent des initiatives avec leur personnage.
Une aventure sur plusieurs sessions demande une régularité de jeu et les notes prises durant l’aventure servent de mémo aux participant·es entre les sessions.
Un groupe d’ami·es, Eva, Camille, Charles et Nicolas décident de jouer au jeu narratif à l’aide d’Index.
Eva souhaite être la narratrice et prépare un scénario. Elle s’inspire des modules contexte et script pour concevoir une aventure sur mesure pour ses ami·es.
En parallèle, elle s’informe sur le système et sélectionne le niveau de complexité idéal pour son scénario. Elle décide d’utiliser l’intégralité des règles pour cette session.
Camille, Charles et Nicolas seront les joueur·euses ; iels prennent connaissance du système.
Une fois que la narratrice a terminé de préparer son scénario, elle le présente aux participant·es afin qu’iels puissent imaginer leur personnage joueur.
Par la suite, les joueur·euses remplissent leur fiche personnage avec l’assistance d’Eva.
Le lieu désigne l’échelle minimale d’un contexte.
La narration d’un lieu demeure la description la plus importante pour la compréhension de l’aventure par les joueur·euses. De plus, elle représente l’échelle à laquelle les personnages joueurs interagissent principalement.
Un lieu représente en moyenne 20 à 30 minutes de session, indépendamment du script présent dans le scénario.
Avant une session, la·le narrateur·rice prépare la scène, l’action et l’interaction d’un lieu afin d’en simplifier la description lors de l’aventure.
L’échelle du lieu représente le gabarit idéal pour des sessions courtes en huis clos.
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La scène d’un lieu désigne sa spatialisation et son apparence.
Sa mise en place, entre sa description et son exploration, représente 10 minutes de session.
La structure se focalise sur les éléments présents dans le lieu.
Lors de la découverte d’un lieu par les joueur·euses, la·le narrateur·rice se réfère à cette section afin de déterminer la situation en cours à narrer.
L’ambiance se focalise sur la narration de l’événement en cours et son interruption par les personnages joueurs.
Lors de la description de la situation, la·le narrateur·rice s’aide de ces informations afin de développer l’immersion de la scène et pousser les joueur·euses à l’interaction.
L’utilisation d’une frise chronologique permet de visualiser l’ordre des événements et d’éviter les anachronismes.
Il est possible d’indexer la temporalité de la frise chronologique par tranche de sessions.
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